Ursula, nous demandons
sauvetage en mer d'état !

Rappelons ensemble à Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, son devoir de respecter les droits de l’homme. Les valeurs humanitaires de l’Europe ne doivent pas être laissées à l’abandon.

L'UE NE DOIT PAS LAISSER LES GENS SE NOYER. ELLE DOIT ÉCONOMISER.

Malheureusement, la présidente de la Commission européenne a désactivé son compte de courrier électronique.
Jusqu’à ce qu’Ursula envoie un navire, nous continuerons à envoyer nos demandes à :

https://ec.europa.eu/commission/commissioners/2019-2024/president_fr

Copier le modèle:

Objet:

SAUVER LES DROITS DE L’HOMME – SAUVER DES VIES HUMAINES

Modèle de texte:

Madame la Présidente von der Leyen,

la Méditerranée est depuis des années la frontière la plus meurtrière du monde. Je vous écris pour que vous, en tant que président de la Commission, fassiez tout votre possible pour mettre un terme à cette mort !

Les droits de l’homme doivent rester le fondement de toutes les politiques ! Je vous invite à vous rappeler votre devoir de faire respecter les droits de l’homme.

1. Premièrement, mettre en œuvre un programme national de sauvetage en mer. Avec l’Union européenne, prenez enfin vos responsabilités et respectez le droit européen et les droits de l’homme. La realpolitik ne doit pas conduire à une violation constante de la loi. Le sauvetage en mer est un devoir de l’État.

2. Faire pression pour le sauvetage civil en mer ! Les États membres de l’UE ne doivent plus entraver les navires de sauvetage en mer. Souvent, ils ne sont pas autorisés à prendre la mer pendant des mois. La prévention systématique de l’aide humanitaire de la société civile européenne coûte des vies humaines. Les gouvernements européens ont une responsabilité commune à cet égard !

3. mettre fin à toute coopération avec les soi-disant garde-côtes libyens! La Commission européenne finance des milices criminelles en Libye, pays en guerre civile, en tant que garde-côtes présumés, et accepte que les personnes qui sont renvoyées en Libye soient soumises aux pires tortures. J’espère que l’argent des contribuables européens ne sera plus utilisé pour les activités illégales des chefs de guerre et des trafiquants d’êtres humains !

J’en suis fermement convaincu : Nous ne pouvons pas nous habituer à mourir mille fois à la frontière de notre continent. La dissuasion ne doit pas devenir une intention cynique, quelle que soit l’ampleur de la tâche politique. Cette politique des réfugiés n’a pas d’avenir brillant. Non seulement cette politique menace les réfugiés, mais elle met également en danger notre propre humanité et notre dignité.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de mes sentiments distingués,